hall-of-sephiroth

    Non je ne deviens pas homo, pas plus que je ne vote à droite ou écoute du rap; je vous annonce simplement que dorénavant, ce blog (j'aime pas ce mot -_- ) sera essentiellement consacré à mes dessins en tout genre, à quelques articles près. D'ailleurs faudra que je réorganise un peu les catégories quand j'aurai assez de contenu...  voilà c'était tout pour le moment, en attendant les dessins en question qui devraient bientôt arriver.

 Tous les possesseurs (ou anciens possesseurs) de Super Nintendo (Famicom, pour les nipponophones :p ) ont joué à Bomberman au moins une fois dans leur vie. Pour les autres, il n'est jamais trop tard. Si vous cliquez ici, vous aurez la joie de tomber sur une page de téléchargement d'un émulateur Super NES très simple d'utilisation ainsi que d'un certain nombre de roms (des cartouches de SNES virtuelles, en gros) dont les fameux Super Bomberman 2 & 3. Je m'en vais donc faire une petite chronique vite fait avant de vous laisser (re)découvrir ce blockbuster de la SNES. Bien sûr, je me dois de vous avertir que pour télécharger l'émulateur vous DEVEZ impérativement disposer d'une SNES et que pour télécharger une rom, vous devez être l'heureux possesseur de la cartouche originale. Cela va sans dire...
    Nous allons nous concentrer sur la version multijoueur de Bomberman, vu que c'est le principal intérêt; On peut jouer à 4 dans le 2 et à 5 dans le 3. Chacun commence dans un coin de la carte, et doit se frayer un chemin jusqu'aux autres joueurs en posant des bombes et en ramassant quelques bonus utiles par-ci par-là. Ensuite, vous devinez le but: Dégommer les autres joueurs :) Un bon calcul et un timing précis (ainsi qu'un peu de chance, il est vrai) sont les clés de la victoire. Si on fait n'importe quoi on se fait souvent sauter soi-même avec sa propre bombe huhuhu. Il vaut mieux aussi éviter la tête de mort qui vous donnera un malus aléatoire parmi lesquels lenteur, impossibilité de poser des bombes, explosion rikiki ou encore commandes inversées :)
    Il y a quelques différences entre le 2 et le 3, bien qu'ils soient très similaires; personnellement j'aime bien les deux, même si je trouve le 2eme volet un peu plus fun parce qu'il y a beaucoup plus de bonus dans un seul round (qui dure du coup moins longtemps.) La grande nouveauté du 3, par contre, C'est que les Bombers qui ont perdu peuvent, si on active l'option, revenir sous forme de fantômes au bord de la carte et continuer à balancer des bombes pour emmerder les vivants :) L'apparition de sortes de lapins que l'on chevauche et disposant chacun de capacités spéciales (sauter, shooter dans les bombes, courir plus vite, ...) ajoute un peu de piment au jeu, d'autant plus que si on se prend une explosion en pleine poire, c'est le lapin qui déguste (c'est salaud, quand même.)
    Bon, pour l'intelligence artificielle on repassera (surtout pour le 2) mais après tout, faut se rappeler que ce n'est qu'un jeu de Super Nes. Par contre, entre amis, tranches de rire garanties!
    Allez, je ne vous en dis pas plus, ça vous gâcherai le plaisir de la découverte (ou ça vous gonflera parce que vous savez déjà tout ça :) alors faites chauffer votre connexion, branchez votre pad (c'est plus agréable et immersif qu'un clavier) et faites tout péter !!!

    Hello, les gens, me revoici avec un nouvel article palpitant ! Je profite que ce jeu (Neverwinter Nights 2, pour ceux qui verraient pas l'image) est encore assez récent pour en faire une petite chronique.

    Neverwinter Nights 2 est donc sorti fin automne 2006, et c'est avec impatience que je l'attendais, comme tout bon fan du 1er opus. Petit rappel: Ce jeu est un RPG (jeu de rôle, en français) basé sur l'univers des Royaumes Oubliés (la plus connue des séries de livres de fantasy avec Lancedragon et bien sûr l'oeuvre de Tolkien) et sur les règles de Donjons & Dragons (le plus célèbre des jeux de rôles fantasy sur papier.) Après un petit test rapide, voici mon avis sur ce jeu, assez mitigé.

    A première vue, le jeu donne vraiment envie; la scène d'intro est assez jolie, et la création de son personnage ouvre vraiment des possibilités immenses. Plusieurs nouvelles races ont été ajoutées par rapport à la dernière fois (haaaaaa les elfes noirs <3 ) ainsi que de nombreuses classes, dont certaines classes de prestige que l'on ne peut acquérir que sous certaines conditions. Du vaillant paladin qui voue sa vie au service du bien au psychopate qui détruit tout sur son passage, on peut à peu près faire toutes les nuances. Le jeu offre donc pas mal de possibiltés quant au caractère et au comportement de son personnage. Là où ça laisse un peu à désirer, par contre, c'est pour le physique du perso... Très peu de modèles de visages différents, quelques coiffures... On est loin des possibilités de personnalisation d'un jeu comme Oblivion. Enfin bref, c'est donc avec un elfe noir nécromancien neutre mauvais que je me lance dans cette grande aventure.

    Le tutoriel est amusant, mais il n'a pas la classe du premier volet. Dans Neverwinter Nights, il prenait place dans les locaux de l'Académie militaire d'Eauprofonde, et c'est pas de la merde en boîte, côté prestige... Dans Neverwinter Nights 2, il se passe à... La fête du village de Port-Nuit! Entre une Académie militaire et une fête de bouseux, hein... Le gameplay est assez pratique à prendre en main, et c'est très facile de diriger ses personnages sans qu'ils fassent de conneries. La fonction pause, notamment (déjà présente dans le premier volet) est très pratique pour planifier ses attaques sans stress. La barre de sorts rapide aide aussi, surtout quand on est magicien. Par contre, je trouve l'inventaire beaucoup moins pratique qu'avant; je trouve particulièrement con qu'une arbalète y prenne autant de place qu'une fiole de soin, par exemple... Et le fait que les icônes soient toutes petites n'aide pas à bien repérer les objets...  Une fois le tuto terminé, l'histoire commence. Le scénario a l'air assez bien, même si j'ai pas pu aller très loin vu que mon lecteur DVD a claqué... -_- Un des points forts, toutefois, est le fait que vos 3 compagnons (2 de plus qu'avant) réagissent en fonction de leur caractère et de vos actions. Si vous êtes une ordure finie qui tue gratuitement et exploite les faibles, le paladin du groupe risque de vouloir se barrer fissa =D bon, d'accord, c'était déjà le cas dans Baldur's Gate, mais c'est toujours efficace.

    Ce qui m'a le plus déçu, je crois, ce sont les graphismes. A peine meilleurs que dans Neverwinter Nights. Et ça rame assez souvent, alors que la config de mon pc est quand même pas mal et que j'ai réglé la qualité sur moyenne... On se retrouve donc avec un gros bug sur le ciel, un doublage décalé a cause du framerate et des ralentissements quand il y a beaucoup d'éléments...

    Au final, ce jeu est assez plaisant à jouer, malgré ses quelques défauts énervants. Il mérite bien un 15/20 mais c'est dommage, avec un peu plus d'efforts il aurait pu facilement atteindre 19 (comme son confrère Oblivion.)

    Petite parenthèse à propos de la version collector Chaotic Evil - que j'ai achetée - faites attention c'est un peu l'arnaque. Ca vaut largement son prix (à peine plus cher que le jeu neuf normal) mais c'est pas aussi prometteur que ça le laisse entendre. La figurine est jolie mais pas de quoi tomber par terre, et pareil pour l'anneau (pas mettable, attention.) Pour l'artbook c'est carrément l'arnaque; des artworks du jeu (jolis, d'accord) imprimés sur du PQ relié... Ce qui est bien, c'est le CD avec des images et musiques du jeu, et aussi le fait que cette édition contienne Neverwinter Nights et ses deux extensions, sauf qu'elles sont en anglais (ça peut en gêner certains) et dans un simple emballage carton. On en a donc pour son argent, mais on préfèrera peut-être attendre de trouver le jeu seul à 30 ou 15 euros...

    voilà, c'était un article assez long, mais j'avais pas mal de choses à dire sur ce jeu ^^

   

Il y a un truc que je me demande à propos de ce qu'on appelle le pogo (pour ceux qui ne le sauraient pas, le pogo c'est, selon wikipedia, "un style de danse où tout le monde saute de façon désordonnée et en se bousculant, plus ou moins en rythme avec la musique. Il n'est généralement pas pratiqué dans le but de faire mal ; c'est un jeu.")
     Ma question est simple: Qu'est-ce que le pogo vient foutre dans des concerts de metal ? Toujours selon wikipedia, le pogo "aurait été inventé par Sid Vicious des Sex Pistols, à un de leurs concerts, le 5 décembre 1975 (c'est ce que prétend le principal intéressé dans The Filth and the Fury). Lors de concerts auxquels il assistait, Sid Vicious avait pris l'habitude de sauter sur place, afin de mieux voir le groupe sur scène. Il reproduisait ce comportement en spectacle avec les Sex Pistols, et la foule l'aurait tout simplement suivi." (on notera au passage la brillante démonstration de volonté propre et d'individualisme de ladite foule, mais passons, ceci n'est que mon avis et sans rapport avec le sujet.)
    Donc en fait je me demandais comment le pogo, un truc de punk, à la base, en était venu à contaminer le metal. Si quelqu'un a une explication rationnelle à ça, je suis preneur. Si on peut aussi m'expliquer l'intérêt de rater toute la performance scénique d'un groupe pour à la place se prendre pour un ressort et piétiner son voisin, ça m'intéresse aussi (s'il s'agit de simplement se défouler, autant faire de la boxe ou piquer un sprint, c'est plus simple et moins cher.) Enfin, votre avis général sur le sujet m'intéresse aussi. (pour une fois que je fais un article sérieux, hein :p )

PS: un bonbon pour qui devine en premier qui est le groupe en photo :D